Notre client est un ressortissant Algérien qui est entrée en France en 2004 muni d’un visa de type C et il n’est jamais retourné dans son pays d’origine. 

En 2022, il a sollicité son admission au séjour sur le fondement de l’article L. 435-1 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile.

La Préfecture n’a jamais répondu à sa demande.

C’est alors qu’un parcours de combattant a débuté. Nous avons attaqué la décision implicite de la préfecture et le juge nous a donné raison.

Ce n’est qu’en 2024 que nous avons pu obtenir une décision d’annulation du rejet implicite et une régularisation de la situation du requérant. 

Vingt ans après son entrée en France, voilà notre client régularisé et autorisé à travailler pour la première fois.